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Bonjour, Nos amis du Collectif CLM réalisent une enquête, nous la relayons afin que vous puissiez partiper à cette dernière. ENQUÊTE CLM Cet article Le travail au temps du Covid, cinéma, audiovisuel, publicité, prestation technique. est apparu en premier sur SPIAC-CGT : Syndicat des Professionnel.le.s des Industries de l'Audiovisuel et du Cinéma CGT. Afficher l’article complet
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Avignon Off doit faire sa révolution. Le Festival Off d’Avignon est un événement unique dans le paysage culturel français. Avec plus de 1500 spectacles, il est un incroyable vivier pour la création artistique et la diffusion du spectacle vivant. Pourtant il connaît depuis plusieurs dizaines d’années de nombreuses dérives : des théâtres au confort et à la qualité de service variables, prisonniers d’un modèle économique reposant sur la location de créneaux horaires aux compagnies, une population locale laissée de côté, des logements loués à prix d’or, des compagnies sortant de l’aventure exsangues… Ce festival, où chaque théâtre conçoit sa programmation, concentre tous les enjeux artistiques et économiques de ses acteurs dans un temps réduit et dans un espace contraint par les remparts de la Cité des papes. Échappant aux idées généreuses de ses créateurs, il est devenu un marché, une foire, un ogre insatiable qui menace de dévorer ses propres enfants. Fruit d’un impensé politique depuis ses débuts, fonctionnant sans gouvernance, sans régulation, et selon les lois de l’économie de marché, ce festival est devenu un paradoxe : il concentre les aspirations d’auteur.e.s et d’artistes qui inventent la culture de demain, et pourtant il semble passer à côté des débats et mouvements de fond qui transforment la société française. « Être d’avant-garde c’est marcher au pas du réel », disait Guy Debord. Comment une création artistique contemporaine peut-elle faire l’économie de penser son propre mode de production et de diffusion ? Qu’en est-il de l’impact écologique du festival, des conditions de travail des divers corps de métier qui œuvrent à son bon déroulement ? Que dire des hausses des loyers qui les rendent inabordables ? Pourquoi la diversité culturelle et sociale n’est-elle pas davantage représentée ? Si le festival n’est pas directement subventionné, de nombreuses compagnies, sur l’ensemble du territoire, sont soutenues par l’Etat et les collectivités pour pouvoir y participer. N’est-il pas temps de nous préoccuper de l’usage qui est fait de tout cet argent public ? L’enjeu n’est pas seulement celui du Festival Off d’Avignon, mais au-delà, celui de la politique du spectacle vivant en France. L’annulation de l’édition 2020 pour cause de pandémie et les craintes qui pèsent sur l’édition 2021 rendent l’avenir du festival incertain. Elles sont l’occasion de renverser un système à bout de souffle, et de le réinventer. Il en va de la survie du festival, et de la fierté pour les compagnies de pouvoir se produire à la hauteur de leurs exigences et pour les théâtres d’Avignon de pouvoir y répondre. Pour nous, il est évident que si la situation sanitaire s’améliore, le Festival Avignon Off 2021 doit avoir lieu. Comment l’Etat peut-il imaginer que nous, artistes, techniciennes et techniciens, attaché.e.s de presse, directrices et directeurs de compagnies et de théâtres qui sommes des employé.e.s et des entrepreneur.euse.s de spectacles, ne serions pas conscient.e.s de la gravité de la situation actuelle et moins capables d’assurer les mesures sanitaires qui sont demandées par le gouvernement, que les entrepreneur.euse.s et employé.e.s. dans d’autres secteurs tels que ceux du commerce, de la grande distribution et de tous les autres secteurs d’activités actuellement ouverts ? Au sein des Etats Généraux du Off (EGOFF), nous sommes 300 artistes, techniciens.nes, administrateurs.trices, directeurs.trices de théâtres, responsables de compagnies, représentant.e.s de sociétés de droits d’auteur à avoir fait le même constat. Réuni.es au sein des Etats Généraux du Festival Off d’Avignon, nous avons mis en place une organisation qui nous permet de penser le festival de demain, de façon horizontale et inclusive. Il sera issu d’une concertation collective car nous croyons le dialogue indispensable à l’émergence d’une structure plus juste et plus solidaire. Déjà des propositions abondent, comme celle d’un label qualitatif « théâtre équitable » qui pourrait s’appliquer à des domaines aussi divers que les conditions d’accueil du public et des compagnies dans les théâtres, l’extension du festival hors des remparts du centre-ville et l’inclusion de tous les publics du grand Avignon dans les projets des théâtres et des compagnies, l’engagement des compagnies sur le respect des conventions collectives, la lutte pour la transparence des comptes, la participation à l’encadrement des prix et à la régulation des pratiques. La question de la lutte contre le réchauffement climatique est également au cœur des débats avec des réflexions sur la climatisation des salles, la mise en place de cantines bio et solidaires travaillant avec des producteurs locaux, ou encore la mutualisation des transports et du matériel technique des compagnies ou d’achats groupés pour les théâtres. Il appartient au Ministère de la Culture et aux collectivités territoriales locales interpellées à plusieurs reprises d’accompagner ce changement. Le chantier est vaste. Nous nous laissons trois années pour mener à bien une réflexion collective qui proposera un écosystème fondé sur la préservation d’une diversité culturelle, en adéquation avec les principes d’une économie sociale et solidaire. Avignon Off est l’un des festivals les plus importants d’Europe. Nos propositions ont pour objectif d’en faire un événement exemplaire pour la diffusion du spectacle vivant en France et pour la politique culturelle européenne. Il est temps que tous les partenaires, publics et privés, participent à la réflexion pour faire de ce festival un des moteurs du changement. La démarche des Etats généraux du Off, initiée par le SYNAVI (Syndicat National des Arts Vivants), les EAT (écrivains associés du théâtre), les AAFA (actrices & acteurs de France associés), les Sentinelles (Compagnies du Spectacle Vivant), est accompagnée par l’Union des Scénographes, les Chorégraphes Associé.e.s, LAPAS (L’Association des Professionnels de l’Administration du Spectacle), l’ADAMI, plus de vingt théâtres avignonnais et d’une centaine d’artistes, technicien.nes, attaché.e.s de presse, dont vous trouverez la liste ci-dessous. Parmi les signataires : Jean-Philippe Daguerre (auteur, comédien, metteur en scène), Irène Jacob (comédienne), Agnès Jaoui (comédienne, réalisatrice), Sébastien Jumel (député GDR de Seine-Maritime), Michel Larive (député LFI de l’Ariège), Virginie Lemoine (autrice, comédienne, metteuse en scène), Jean-Luc Mélenchon (député LFI des Bouches-du-Rhône), Richard Ramos (député MODEM du Loiret), Jean-Michel Ribes (auteur, metteur en scène, directeur du théâtre du Rond-Point), Michèle Victory (députée SOC d’Ardèche) Margot Abascal (comédienne), Agnès Aboulin (directrice Théâtre de la Porte Saint-Michel – Avignon, coprésidente de la FTIA, Fédération des Théâtres Indépendants d’Avignon), Michel Alban (metteur en scène, comédien, comité de suivi des EGOFF), Kerenn Ann (autrice, interprète), Richard Arselin (metteur en scène, comédien), Emilie Audren (Comité directeur La Manufacture Collectif Contemporain – Avignon), Delphine Bagarry (députée NI Alpes de Haute-Provence), Gregory Baquet (comédien, metteur en scène), Christian Bena Toko (auteur, metteur en scène), Bruno Boutleux (directeur général de l’ADAMI), Véronique Boutonnet (comédienne, metteuse en scène, autrice), Cédric Brossard (metteur en scène), Anne Bouvier (comédienne, metteuse en scène), Anne Brochet (comédienne, réalisatrice), Sylvain Cano-Clemente (Directeur du Théâtre du Rempart – Avignon, coprésident de la FTIA), Alice Carré (autrice, metteuse en scène), Agnès Chamak (Directrice Théâtre des Brunes – Avignon, coprésidente de la FTIA), Annie Chapelier (députée Agir du Gard), Elise Chatauret (autrice, metteuse en scène), Léonore Confino (autrice, comédienne), Roger Contebardo (comédien), Alexis Corbière (député LFI de la Seine-Saint-Denis), Annabelle Couto (administratrice), Ludmilla Dabo (comédienne, metteuse en scène, autrice), Jean-Philippe Daguerre (auteur, comédien, metteur en scène), Eva Darlan (Comédienne), Harold David (Directeur Archipel Théâtre – Avignon, coprésident de la FTIA), Paul Desveaux (metteur en scène), Vincent Dheygre (président des Ecrivains Associés du Théâtre), Jean-Christophe Dollé (auteur, metteur en scène, comédien), Laurent Domingos (comédien, metteur en scène, coprésident des EGOFF, président des Sentinelles, Fédération de cies du Spectacle Vivant), Camille Dugas (scénographe), François Feroleto (comédien), Caroline Fiat (députée LFI de Meurthe-et-Moselle), Margaux Eskenazi (metteuse en scène), Grégoire Faucheux (scénographe, Union des Scénographes), Véronique Felenbok (directrice de production, comité de suivi des EGOFF), Jacques Frot (metteur en scène, comédien), Jean-François Gabillet (président du Festival de Coye-le-Forêt), Catherine Gandois (metteure en scène, comédienne), Marthe Gauducheau (directrice de production), Mathilde Gautry (co-directrice Théâtre La Scierie – Avignon), Jean-Paul Gautry (co-directeur Théâtre La Scierie – Avignon), Marion Gauvent (chargée de développement international, coprésidente de LAPAS – L’Association des Professionnels de l’Administration du Spectacle), Fabienne Govaerts (Directrice du Théâtre Au Verbe Fou – Avignon, coprésidente de la FTIA), Jean-Claude Grimal (Festival de Coye-la-Forêt), Steven Hearn (Scintillo), Mathieu Huot (metteur en scène), Irène Jacob (comédienne), Agnès Jaoui (comédienne, réalisatrice), Emmanuelle Jouan (directrice La Belle Seine St Denis / Théâtre de la Parenthèse – Avignon), Sébastien Jumel (député GDR de Seine-Maritime), Valérie Karsenti (comédienne), Pascal Keiser (président La Manufacture Collectif Contemporain – Avignon), Yannick Kerlogot (député LREM des Côtes-d’Armor), Jérôme Kircher (comédien), Delphine Lalizout (comédienne metteuse en scène), Pierre Lambert (Directeur Présence Pasteur – Avignon coprésident de la FTIA), Emmanuel Landier (metteur en scène), Michel Larive (député LFI de l’Ariège), Maxime Le Gall (comédien), Maël Le Goff (Comité directeur La Manufacture Collectif Contemporain – Avignon), Sandrine Le Metayer (metteuse en scène), Sophie-Anne Lecesne (comédienne, coprésidente de l’AAFA–Actrices & Acteurs de France Associés, coprésidente des EGOFF), Micheline Lelièvre (coprésidente des Chorégraphes Associé.e.s), Virginie Lemoine (autrice, comédienne, metteuse en scène), David Lescot (auteur, metteur en scène), Micha Lescot (comédien), David Levet (comédien, auteur), Pauline Mandelblat (chargée de production), Elise Massart (directrice du théâtre Paradise Republic – Avignon), Elsa Maupeu (chargée de développement, coprésidente du SYNAVI, Syndicat National des Arts Vivants, comité de suivi des EGOFF), Didier Mayemba (coprésident Chorégraphes Associé.e.s), Jean-Luc Mélenchon (député LFI des Bouches-du-Rhône), Fabrice Melquiot (auteur, metteur en scène), Corinne Merle (comédienne, autrice), David Nathanson (comédien, metteur en scène), Elise Noiraud (autrice, metteuse en scène, comédienne), Pierre Notte (auteur, metteur en scène), Sylvie Paligot-Grimal (Festival théâtral de Coye-la-Forêt), Mathilde Panot (députée LFI du Val-de-Marne), Marc Pauli (directeur adjoint La Belle Seine St Denis / Théâtre de la Parenthèse – Avignon), Camille Pawlotsky (metteuse en scène), Charles Petit (codirecteur théâtre Le Train Bleu – Avignon), Jean Petrement (Auteur, metteur en scène, comédien), Mickaël Perras (Directeur Atypik Théâtre – Avignon, coprésident de la FTIA), Colin Pitrat (administrateur, coprésident de LAPAS – L’Association des Professionnels de l’Administration du Spectacle), Loïc Prud’Homme (député LFI de Gironde), Adrien Quatennens (député LFI du Nord), Richard Ramos (député MODEM du Loiret), François Rancillac (metteur en scène), Jean-Hugues Raneton (député LFI de la Réunion), Pauline Remond (metteuse en scène), Odile Renaud (conseillère action artistique à l’Adami), Jean-Michel Ribes (auteur, metteur en scène, directeur du théâtre du Rond Point), Marcel Rogemont (conseiller départemental, ancien député PS d’Ille et Vilaine), Noémie Rosenblatt (metteuse en scène, comédienne), Aurélien Rondeau (codirecteur théâtre Le Train Bleu – Avignon), Eric Rouquette (auteur, metteur en scène), Véronique Royer (comédienne, autrice, metteuse en scène), Sabine Rubin (députée LFI de la Seine-Saint-Denis), Elsa Saladin (comédienne, metteuse en scène), Vanessa Sanchez (metteuse en scène), Lionel Sautet (comédien, metteur en scène), Magali Sautreuil (administratrice), Catherine Schaub (comédienne, metteuse en scène), Michel Scotto di Carlo (comédien, coprésident de l’AAFA-actrices acteurs de France associés), Thibault Sinay (Président de l’Union des Scénographes), Dany Toubiana (comédienne, metteuse en scène), Philippe Torreton (comédien, metteur en scène), Marie-Céline Tuvache (comédienne), Laurent Vacher (metteur en scène), Eric Verdin (auteur, metteur en scène, comédien, comité de suivi des EGOFF), Michèle Victory (députée SOC d’Ardèche), Tessa Volkine (comédienne, comité de suivi des EGOFF), Jacques Weber (comédien, réalisateur), Raymond Yana (directeur des théâtres avignonnais : Espace Alya, le Chapeau d’Ebène Théâtre, le Grand Petit Théâtre), Michel Zumkeller (député UDI du Territoire de Belfort). Contact : eg.avignonoff@gmail.com L’article L’AAFA COSIGNATAIRE DE LA TRIBUNE DES EGOFF DANS LE MONDE est apparu en premier sur AAFA. Afficher l’article complet
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Les partenaires sociaux européens ont souhaité développer un outil d’évaluation des risques pour le secteur des productions audiovisuelles et cinématographiques.Il s’agit là d’un projet important puisqu’il doit permettre aux entreprises de satisfaire à une obligation face à laquelle elles sont souvent démunies et de créer des conditions de travail plus sûres pour l’ensemble des professionnels. […]Afficher l’article complet (source)
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Face aux évolutions de la situation sanitaire et des dispositions gouvernementales, Les CCHSCT de la production audiovisuel et des productions cinéma/publicité ont élaboré une 3ème édition du « Guide des préconisations de sécurité sanitaire pour les activités de la production audiovisuelle cinématographique et publicitaire ». Pour plus d’informations, rendez-vous sur leur site : http://www.cchscinema.org/ Téléchargez le guide Afficher l’article complet
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Depuis 2012, Movinmotion a pour ambition de faciliter les échanges entre employeurs et salariés. Il était alors logique de nous attaquer à l’un des enjeux clés du secteur : le recrutement des intermittents et permanents du spectacle et de la culture. Historiquement, cette ambition nous a d’abord amené à créer un outil de gestion sociale qui fait désormais référence. Movinmotion Social permet d’embaucher et d’éditer les documents de paie des intermittents en quelques clics (). Nous nous sommes ensuite penchés sur la création d’un outil comptable analytique (Movinmotion Comptabilité) et d’une assurance santé 100% digitale (Movinmotion Assurance). Nous avons ainsi pu constater les difficultés du recrutement de nouveaux talents dans le secteur culturel. C’est pourquoi nous avons choisi de développer une nouvelle solution : Movinmotion Talents, la plateforme qui vous ouvre le champ des possibles. Movinmotion Talents : votre allié pour le recrutement des intermittents du spectacle et permanents Movinmotion Talents, c’est une plateforme de recrutement conçue par et pour les professionnels de la culture. Déjà plus de 20 000 intermittents du spectacle, permanents, ainsi que leur CV, sont accessibles grâce à une recherche multicritères dédiée aux métiers du secteur culturel. Grâce à cet annuaire, rentrez vos critères (couleur des yeux, des cheveux, maîtrise de logiciels, de matériel, permis, disponibilités, etc), et découvrez les profils de vos collaborateurs de demain ! Par exemple, ici, je souhaite filtrer les profils en fonction des langues parlées. Movinmotion Talents vous permet... Afficher l’article complet
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Pour ceux et celles qui se poseraient des questions : "Bonjour, Suite aux annonces du gouvernement hier soir je vous informe que les tournages à Paris ne sont pas affectés par les nouvelles mesures mises en place puisque les activités professionnelles, donc les tournages, sont préservées. Pour mémoire : -vous devez veiller au strict respect du protocole sanitaire élaboré par vos CHSCT respectifs -les barnums restent interdits -du fait du couvre-feu les tournages nocturnes sont strictement encadrés (durée, nuisances sonores) -les bars et restaurants peuvent être utilisés comme décors mais pas comme cantine Par ailleurs du fait du nombre très important de tournages en cours et à venir et des fortes contraintes de stationnement qui pèsent sur un certain nombre de quartiers (Paris-centre, 9éme, 10éme, 6éme, une partie du 7éme) nous vous prions d'intégrer ces contraintes très en amont en réduisant votre volumétrie de véhicules, en prévoyant des logique de déchargement-rechargement, en supprimant les loges au profit des hôtels, .... Cordialement Michel Gomez Mission Cinéma" et : "Précision ce matin de M. Gomez de Paris Film suite à la parution des décrets via Association Française des Régisseurs Cinéma et Audiovisuel - AFR --------------------------------------------------------- 1/ les dispositions de l’article 3 relatives aux rassemblements et réunions sur la voie publique ou un lieu ouvert au public n’ont pas été modifiées (sauf pour la vente d’alcool à emporter sur la voie publique qui est désormais interdite). le cadre juridique reste donc le suivant : « III. - Les rassemblements, réunions ou activités sur la voie publique ou dans un lieu ouvert au public autres que ceux mentionnés au II mettant en présence de manière simultanée plus de six personnes sont interdits. Ne sont pas soumis à cette interdiction : 1° Les rassemblements, réunions ou activités à caractère professionnel ; 2° Les services de transport de voyageurs ; 3° Les établissements recevant du public dans lesquels l'accueil du public n'est pas interdit en application du présent décret ; 4° Les cérémonies funéraires organisées hors des établissements mentionnés au 3°, dans la limite de 30 personnes ; 5° Les cérémonies publiques mentionnées par le décret du 13 septembre 1989 susvisé. (…) »" Source
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Avec le plan Net Zéro Carbone + Nature, le géant Netflix annonce vouloir contribuer à la stabilisation du climat afin de "ne pas laisser le réchauffement climatique dépasser 1,5°C" et "assurer des conditions de vie acceptables pour nos enfants" Entre autre, la plateforme s'engage à atteindre l’objectif Net Zéro carbone d'ici la fin de l'année 2022. Pour ce faire, un plan en 3 étapes (source Netflix): Étape 1 : RÉDUCTION de nos émissions Nous allons commencer par réduire nos émissions internes, conformément aux objectifs de l'Accord de Paris. Nous allons également réduire nos émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre (GES) de 45 % d'ici 2030, en accord avec les recommandations du programme Science-Based Targets. Étape 2 : CONSERVATION d'écosystèmes existants qui stockent du CO2 D'ici la fin de l'année 2021, nous allons neutraliser les émissions qu'il nous est impossible d'éliminer, y compris les émissions du scope 3, en investissant dans des projets qui retiennent le CO2. Nous commencerons par préserver les zones naturelles en danger comme les forêts tropicales, qui sont essentielles à la réalisation des objectifs climatiques mondiaux. Étape 3: ÉLIMINATION du CO2 de l'atmosphère D'ici la fin de l'année 2022, nous rapporterons toutes nos émissions restantes à zéro en investissant dans la régénération d'écosystèmes naturels essentiels. Ces projets, tels que la restauration de prairies, de mangroves et de sols sains, permettront notamment de séquestrer le CO2. Pour en savoir plus RDV sur Netflix ou encore ici
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Le piratage était en forte baisse ces dernières années, une conséquence du développement de plateformes, des offres de streaming et de l'offre légale. Hélas, il est de nouveau en hausse en France depuis le début du confinement dans les secteurs de la musique et du cinéma. D'après Hadopi, l'organisme public chargé de lutter contre le piratage, le nombre de pirates est "remonté à plus de 14 millions lors du confinement de mars (2020)" contre "16 millions en 2015, 12 millions en 2019, 8 millions début 2020". ""Avec des salles fermées et un piratage fringant, le cinéma subit une double peine", écrit Le Monde. "A part le luxe, qui est miné par la contrefaçon tout en se portant pas trop mal, aucun autre secteur n’affiche un chiffre d’affaires volé à 25 %." Et d'ajouter : "Le manque à gagner est évalué à 1 milliard d’euros par an, sans compter les centaines de millions de pertes fiscales pour l’Etat et les destructions d’emplois. Le producteur et distributeur Jean Labadie donne cet exemple : les ventes de films français en DVD ou en VoD (vidéo à la demande) représentaient 25 % de ses revenus. « A cause du piratage, c’est tombé à 2 % ou 3 %. »"" Source
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Les termes ont changé depuis quelques années mais l’objectif reste le même : suivre, améliorer et protéger la santé des travailleurs. Pour les intermittents et permanents du spectacle, la médecine du travail est un service de santé appelé le Centre Médical de la Bourse (CMB). Historiquement, en France, la réglementation date d’une loi d’octobre 1946 qui définit la finalité de la médecine du travail ainsi : «éviter toute altération de la santé des travailleurs du fait de leur travail.» Pour se faire, des services de médecine du travail ont été créés : le service peut être autonome, c’est-à-dire intégré à une entreprise ; le service peut être inter-entreprises, il est ouvert à des entreprises différentes. Depuis, les services de santé au travail (SST) ont évolué vers le conseil aux employeurs, aux salariés et à leurs représentants. La finalité étant d’éviter ou de diminuer les risques professionnels et d’améliorer les conditions de travail. A ce jour, les missions légales... Afficher l’article complet
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Invitée de la récente table ronde ARA « Racisme sur les plateaux », Latigone N’GOMA, directrice de production, nous a confié sa définition du métier. Un exercice singulier et rare quand il s’agit de l’exprimer avec... Afficher l’article complet
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Afin de supprimer les écarts de rémunération entre les femmes et les hommes ; le décret n° 2019-15 du 8 janvier 2019 pris en application de la loi du 5 septembre 2018 « pour la liberté de choisir son avenir professionnel » impose aux entreprises d'au moins 50 salariés d'établir et publier, chaque année, un index de ces disparités. Afficher l’article complet
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Le son immersif au cinéma, un marché concurrentiel Cela fait plus de huit ans que nous entendons parler du Dolby Atmos, le nouveau format sonore immersif « 3D » de Dolby. Cette technologie du cinéma numérique n’est pas la première à proposer une diffusion sonore immersive ; il existait déjà d’autres systèmes comme le Hamasaki 22.2... Dossier réalisé par Nathan Robert Retrouvez l’intégralité du dossier dans la lettre de la CST n°176 Afficher l’article complet
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Pour son premier long-métrage, Douglas Attal s’est lancé un sacré défi : revisiter le film de super-héros, genre anglo-saxon par excellence, à la sauce française. Le résultat, Comment je suis devenu super-héros renoue avec la tradition des grands divertissements populaires. Le réalisateur et son chef opérateur, Nicolas Loir, nous expliquent comment ils ont réussi ce tour de force. Retrouvez l’intégralité de l’interview dans la lettre de la CST n°176 Afficher l’article complet
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Besoin de vous déplacer ? Voici le lien vers les nouvelles attestations de déplacement : https://www.interieur.gouv.fr/Actualites/L-actu-du-Ministere/Attestations-de-deplacement
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Pour les retardataires, voici les dernières annonces du gouvernement : Covid-19 : un nouveau confinement sept jours sur sept décrété pour quatre semaines dans 16 départements
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L’Afdas, les branches professionnelles, soutenus par les ministères du Travail, de la Culture et des Sports lancent une étude* prospective intersectorielle sur les évolutions socio-culturelles qui auront un impact sur les secteurs de la culture, des industries créatives, des médias, de la communication, des télécommunications, du sport, du tourisme, des loisirs et du divertissement à un horizon de 10 ans. Afficher l’article complet
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SOUTENIR LE MANIFESTE DES 20 – POUR LA RÉOUVERTURE DES CINÉMAS Chères toutes, chers tous, Nous avons pris l’initiative, avec le GNCR, d’organiser des projections en salles ce week-end afin de marquer le triste anniversaire de la fermeture des cinémas et de protester contre la non-réouverture des lieux culturels. 20 cinémas aux quatre coins de France […] Cet article Manifeste pour la réouverture des cinémas est apparu en premier sur SPIAC-CGT : Syndicat des Professionnel.le.s des Industries de l'Audiovisuel et du Cinéma CGT. Afficher l’article complet
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ACDC lance l'initiative ECO Régie Ciné en partenariat avec l'AFR
Anim replied to Anim's topic in Green addict
C'est chose faite : -
Bonne nouvelle chez nos voisins new-yorkais, fermés depuis le 17 mars 2020 les salles de ciné ont pu de nouveau ouvrir vendredi dernier et ça fait du bien : "Netflix, c'est cool, mais rien ne vaut l'atmosphère d'un cinéma"
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La loi du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel modifie le cadre de la formation professionnelle et s’applique depuis le 1er janvier 2019. Cette réforme implique désormais des modifications importantes sur le plan des cotisations de la formation professionnelle et de la taxe d’apprentissage. Réforme de la formation professionnelle : la simplification des contributions La loi impose dorénavant aux entreprises de contribuer au financement de la formation professionnelle et de l’apprentissage par une contribution financière unique. Celle-ci est collectée par des organismes spécialisés – les opérateurs de compétences (OPCO) – organisés par branche d’activité. Dans le cas de la Culture, des médias, des loisirs et des sports : c’est l’AFDAS qui est l’OPCO compétent. La contribution unique est mise en place via un seul seuil de contribution (plus ou moins de 11 salariés) et un seuil de mutualisation ramené aux moins de 50 salariés quel que soit le niveau de contribution. Le taux pour la formation professionnelle s’applique de la manière suivante : Entreprise de moins de 11 salariés : 0.55% Entreprise de plus de 11 salariés : 1% Cette participation à la formation professionnelle est calculée sur la masse salariale brute versée au cours de l’année civile. La masse salariale englobe notamment : les salaires, les primes, les indemnités de congés payés, etc. Pour en savoir plus sur le calcul de votre effectif, cliquez ici. À noter qu’un taux spécifique existe pour les intermittents du spectacle : ce taux est issu d’un accord professionnel dans les branches du spectacle et demeure identique en 2019. Pour approfondir sur les modifications des dispositifs de la formation professionnelle, vous pouvez consulter notre précédent article en cliquant ici. La Collecte des contributions La transition pour aboutir à la mise en place du nouveau système de collecte des cotisations pour la formation professionnelle s’effectue selon le calendrier suivant : Le seuil de contribution implique une spécificité dans le versement des cotisations : Entreprises de moins de 11 salariés: versement de l’intégralité de leur contribution formation 2019 avant le 28 février 2020. Entreprises de plus de 11 salariés: devront s’acquitter avant le 15 septembre 2019 de 75% de la contribution formation professionnelle 2019 (calculés sur la masse salariale 2018, ou en cas de création d’entreprise : sur la projection de masse salariale 2019). Le solde quant à lui sera versé au plus tard au 28 février 2020. À terme, l’objectif est d’arriver au 1er janvier 2022 – avec la collecte mensuelle via l’Urssaf – à un nouveau système de redistribution des contributions des entreprises au titre de la formation professionnelle : CEP : Conseil en évolution professionnelle (pour plus d’infos, cliquez ici). CPF : Compte personnel de formation (pour plus d’infos, cliquez ici). France Compétences : pour plus d’informations cliquer ici. P.I.C. : Plan d’investissement dans les compétences (pour plus d’infos, cliquez ici). Réforme de la formation professionnelle et la taxe d’apprentissage... The post La réforme de la formation professionnelle : quels impacts sur les cotisations ? appeared first on Movinmotion. Afficher l’article complet
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En tant qu’intermittent du spectacle, vous vous demandez comment se passe le prélèvement à la source (PAS) ? Voici quelques questions/réponses vous permettant de comprendre le mécanisme du PAS. Le prélèvement à la source s’applique t-il si je suis intermittent·e du spectacle ? Oui. Les intermittents du spectacle sont des salariés. Le PAS s’appliquera donc sur vos bulletins de salaire. Y-a-t-il une spécificité du prélèvement à la source liée aux intermittents du spectacle ? Non. Le fait d’être intermittent du spectacle n’apporte en soi aucune spécificité : le PAS s’applique de la même manière pour tous les salariés. Cependant, le fait de changer souvent d’employeur et d’avoir des contrats courts peut avoir un impact sur le taux appliqué. Quel taux s’applique sur mon bulletin de salaire ? La règle est simple : il y a 2 types de taux qui sont susceptibles de s’appliquer : Le taux personnalisé : c’est le taux de principe, qui correspond à la dernière déclaration des revenus réalisée. Sans refus de votre part ce taux a été transmis à votre employeur et s’appliquera sur votre bulletin. Le taux neutre : c’est le taux dérogatoire, qui s’applique dans 2 cas : soit par refus de votre part de le communiquer à votre employeur ; soit en cas d’absence de taux. Ce taux est déterminé selon la grille ci-dessous En pratique, cela est plus compliqué. Pourquoi ? ... The post Intermittent du spectacle et prélèvement à la source appeared first on Movinmotion. Afficher l’article complet
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Hollywood encore à la traîne sur la diversité - Etude
Anim replied to HélèneDbcd's topic in Diversity, Equality & Parity
Dans la même lignée, afin de palier au manque de diversité sur nos écrans Netflix s'engage à adopter "une optique d'inclusion" dans ses différents contenus. "Le géant de la vidéo à la demande va notamment créer un fond pour l'équité créative de 100 millions de dollars (un peu plus de 83 millions d'euros), sur cinq ans, à destination des organisations qui aident les communautés sous-représentées à se former et à trouver des emplois dans la télévision et le cinéma." extrait article de Slate Pour tout savoir RDV ici