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Anim

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  1. Lors de son assemblée générale annuelle, mercredi 5 février 2020 à la CST, l’AOA (Assistants Opérateurs Associés) a procédé à l’élection de son nouveau CA et renouvelé son bureau. Composition du bureau de l’AOA : Cédric Le Donche, président Ludivine Renard, vice-présidente Matthieu Normand, trésorier (Pôle Editorial) Stella Libert, trésorière adjointe (Pôle Evènementiel) Marie Deshayes, secrétaire Marina Piantoni, secrétaire adjointe. La suite ici : https://www.afcinema.com/Le-nouveau-bureau-des-Assistants-Operateurs-Associes.html
  2. Cet article Louis Lumière, le grand nettoyage est apparu en premier sur SPIAC CGT : Syndicat des Professionnels des Industries de l'Audiovisuel et du Cinéma. Afficher l’article complet
  3. Afficher l’article complet
  4. Si vous voulez découvrir une belle innovation et les archives de la Warner...
  5. Actuellement, seuls 35 % des membres de l’Académie sont des femmes. Le président de l’institution dit vouloir ouvrir à 700 ou 800 femmes supplémentaires le collège des votants. Source : https://www.lemonde.fr/culture/article/2020/02/09/critiquee-l-academie-des-cesars-va-bientot-instaurer-une-parite-hommes-femmes_6028946_3246.html
  6. Finie l’époque où vous imprimiez de volumineux manuels au bureau quand votre employeur avait le dos tourné ou encore des dizaines de scénarios en rab, sur un simple clic, au cas où ! Aujourd’hui,... Afficher l’article complet
  7. Pôle emploi Artistes > le 27 février 2020, le 21 avril 2020 et le 18 juin 2020 - Pôle emploi Audiovisuel Spectacles Techniciens > le 25 février 2020, le 23 avril 2020 et le 16 juin 2020 Afficher l’article complet
  8. Pôle emploi Artistes > le 27 février 2020, le 21 avril 2020 et le 18 juin 2020 - Pôle emploi Audiovisuel Spectacles Techniciens > le 25 février 2020, le 23 avril 2020 et le 16 juin 2020 Afficher l’article complet
  9. Source : https://www.afcinema.com/L-Union-des-Chets-Operateurs-renouvelle-son-CA-et-son-bureau.html / https://www.unionchefsoperateurs.com/membres/
  10. ... Source : https://payetontournage.tumblr.com
  11. Brune Poirson, secrétaire d’État auprès de la ministre de la Transition écologique et solidaire, Arnaud Leroy, président de l’ADEME, et Jean Hornain, directeur général de Citeo, révèlent aujourd’hui les 15 projets labélisés « collecte innovante », dans le cadre de la deuxième phase de l’Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI). L’objectif : collecter plus d’emballages dans les zones de tri les moins performantes, en particulier dans les villes (centres urbains denses, habitats collectifs), les collectivités touristiques et les territoires ultra marins, tel que prévu dans la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire. Le Gouvernement s’est engagé à tendre vers 100% de plastiques recyclés d’ici à 2025. Comme un recyclage efficace passe avant tout par une collecte performante, Brune Poirson a lancé en janvier 2019, avec l’ADEME et Citeo, un appel à manifestations d’intérêt (AMI) pour soutenir techniquement et financièrement de nouveaux dispositifs à la fois innovants, performants et solidaires. Cette démarche vise à résorber les disparités géographiques qui perdurent : les habitants des grandes agglomérations trient jusqu’à deux fois moins leurs emballages que ceux des campagnes et des zones semi-rurales. Alors que les 14 premiers lauréats avaient été annoncés en janvier 2019, Brune Poirson a souhaité poursuivre cette dynamique de mobilisation en dévoilant aujourd’hui la deuxième vague de l’appel à manifestations d’intérêt « collecte innovante ». Les 15 projets retenus seront soutenus financièrement et techniquement par Citeo à hauteur de 200 000 € maximum par projet et jusqu’à 250 000 € pour un projet associant une cause solidaire. L’enveloppe globale des deux phases de l’appel à manifestation d’intérêt est de 2,4 millions d’euros alloués par Citeo. Les 15 projets lauréats portent sur les 3 thématiques suivantes : Motivation du geste de tri citoyen avec des dispositifs connectés et ludiques ; Densification du réseau de collecte pour capter plus de bouteilles et de cannettes ; Stimuler la collecte des emballages par l’innovation technique. Motivation du geste de tri citoyen avec des dispositifs connectés et ludiques : My citi’challenge – Simpliciti [Métropole Nice Côte d’Azur – Nice] Simpliciti propose d’analyser les données « open data » pour optimiser la localisation des bornes de tri à Nice. L’objectif est que celles-ci collectent plus d’emballages en étant placées là où les Niçois en ont le plus besoin. Protégeons la bonne mer – SUEZ RV MEDITERRANEE [Métropole Aix-Marseille Provence – Marseille] Ce projet vise à prévenir et réduire les déchets sauvages liés à la consommation « hors-foyer » à Marseille. Plusieurs services sont proposés : – Adapter les rythmes de collecte pour mieux capter les flux. – Aider l’usager à bien trier grâce à une application et/ou des boîtiers installés sur les bornes. Les bons gestes de tri permettent ensuite de soutenir un éco-projet. – Stimuler le geste citoyen dans l’espace public grâce à des bacs de tri ludiques, pour que jeter et trier deviennent un jeu via des mécanismes incitatifs du type « nudge ». – Mobiliser des citoyens via des actions de collecte sur les plages, avec des campagnes de sensibilisation. Information incitative des habitants du Grand Nancy – Métropole du Grand Nancy [Nancy] L’objectif est de sensibiliser chaque usager sur sa production de déchets, tout en lui apportant des conseils pour améliorer le tri de ses déchets et favoriser le geste de prévention. Cette information individualisée est un préalable à la mise en place de la tarification incitative. Projet « nudge » pour les conteneurs à verre ardennais -Valodea [Charleville-Mézières] Ce projet vise à customiser une vingtaine de conteneurs à verre dans l’agglomération de Charleville. L’objectif est multiple : rendre ces mobiliers urbains de collecte plus agréables et les associer à la culture du territoire. Trier c’est colorer mon quartier – OPHEA [Eurométropole de Strasbourg] Le projet cible un quartier prioritaire de la Meinau. Chaque tonne d’emballages apportés dans des conteneurs personnalisés par des artistes permettra de faire un don à une association locale dédiée aux projets artistiques du quartier. L’objectif est d’associer les habitants à cette démarche artistique et culturelle. Densification du réseau de collecte pour capter plus de bouteilles et de cannettes SolarCub Guadeloupe – TRI-CENTER [Cap Excellence – Baie-Mahault] Le projet prévoit la mise en place de 2 automates de collecte autonomes en énergie grâce à la mise en place de panneaux solaires, afin de collecter les bouteilles en plastique PET sur les parkings de 2 centres commerciaux de forte affluence. Le geste de tri est gratifié par la remise de bons de réduction auprès des enseignes de la distribution locale. GreenBig Gare de Bécon-les-Bruyères – Greenbig [Gare de Bécon-les-Bruyères] Le projet prévoit d’installer une machine de collecte des bouteilles en plastique dans une gare francilienne. Cette machine permet un stockage compact sous forme de paillettes ainsi qu’une sensibilisation au geste de tri. Reco city – RECO France [COVALDEM – Carcassonne] Le groupe SUEZ propose un prototype d’automate de collecte collectant les bouteilles en plastique et les canettes métalliques en 2 flux séparés. Le geste de tri des utilisateurs pourra être récompensé sous différentes formes au choix : bons d’achat, points fidélité, dons à associations. Deux prototypes seront testés aux abords de la citadelle médiévale et dans un quartier d’habitat collectif. Automate de collecte dans un Quartier prioritaire – Communauté d’Agglomération Val d’Yerres Val de Seine [Montgeron] Ce projet propose d’installer des automates de collecte des bouteilles plastiques et canettes, dans une zone test d’un Quartier prioritaire dans un local fermé afin de dynamiser le geste de tri et d’opérer un changement d’état d’esprit chez le trieur. L’automate comportera un système d’incitation non financière au geste de tri (accès gratuits aux équipements de loisirs de la collectivité : piscine, cinéma). Cycleen Corse – Cycleen [CAPA – Ajaccio] Des machines de collecte seront installées sur trois typologies de grandes surfaces dans l’agglomération ajaccienne. La collecte sera assurée par les véhicules de la collectivité qui s’inséreront dans les tournées de collecte du bac jaune. Maximisation de la collecte des bouteilles plastiques à Belle-Ile – Belle-Ile-en-Mer [Belle-Ile-en-Mer] Le projet prévoit d’installer un réseau d’automates de collecte dans les lieux à forte fréquentation de Belle-Île. L’objectif est de mesurer l’impact sur la performance de tri insulaire avant et après l’expérimentation ainsi que de prévenir la pollution littorale. Dispositif de collecte dans les établissements publics – YOYO en partenariat avec Cristaline [France métropolitaine] Ce projet prévoit la mise en place d’un dispositif de collecte dans de grands établissements recevant du public (universités, hôpitaux etc.) où les gisements de bouteilles PET sont importants et ne sont pas collectés à date. Une communication spécifique et une formation des personnels de l’établissement est prévue. Les bouteilles seront massifiées et recyclées dans l’usine Roxpet dans le Nord pour reformer des bouteilles Cristaline. Stimuler la collecte des emballages par l’innovation technique Collecte de cartons à vélo – Communauté de Communes Pays des Sorgues Monts de Vaucluse [Isle sur la Sorgue] Il s’agit d’un projet de collecte des emballages recyclables, et particulièrement des cartons, à vélo, par un entrepreneur local dans le centre-ville de l’Isle sur la Sorgue. La station REVALO – TEMACO / Sulo [Syndicat EMERAUDE – Saint-Gratien] A partir d’une étude comportementale menée sur 3 sites d’habitat collectif confrontés aux dépôts sauvages, il est proposé un concept global permettant de faciliter le tri sélectif, augmenter le réemploi tout en créant de la valeur et du lien social entre les habitants. Le dispositif expérimental comprend un espace mobile spécialement conçu pour des actions de sensibilisation, et la mise en place de conteneurs fixes pour collecter les cartons, principalement, le verre et les emballages. Conteneurs enterrés à compaction – Communauté d’Agglomération Cannes Pays de Lérins [Cannes] Ces cuves permettent de compacter les emballages ménagers 6 à 10 fois, ce qui permet de collecter uniquement le matin tôt les zones touristiques à très forts flux piétons. Ces nouveaux contenants seront connectés au système d’exploitation qui sera informé en temps réel du taux de remplissage et pourra planifier et optimiser leur collecte. Les projets retenus ont une durée opérationnelle de 6, 12 ou 18 mois durant lesquels différents indicateurs quantitatifs et qualitatifs sont suivis notamment en termes de gestion de projet, performances de collecte et coûts du dispositif. La phase 1 de l’AMI avait permis de retenir 14 projets dont plusieurs ont démarré et pour lesquels le suivi des premiers indicateurs est en cours. La 3ème et dernière phase de candidature à l’AMI se clôturera le 10 février prochain pour une annonce des lauréats prévue en juin 2020. Afficher l’article complet
  12. ACCREDITATIONS Pour toute demande d’accréditations, merci de nous solliciter à l’adresse suivante : cannes2020@spiac-cgt.org Cet article Festival de Cannes du 12 au 23 mai 2020 est apparu en premier sur SPIAC CGT : Syndicat des Professionnels des Industries de l'Audiovisuel et du Cinéma. Afficher l’article complet
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  13. Après les apps de prépa/repérage, voici quelques applis utiles en situation de tournage, sur iOS, et sauf…L’article Mes apps favorites en tournage est apparu en premier sur L’Union des Chefs Opérateurs. Afficher l’article complet
  14. A l’occasion du Paris Images Trade Show, le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) publie son étude annuelle sur les retombées régionales des crédits d’impôts cinéma, audiovisuel et international en 2018. Source : https://www.cnc.fr/professionnels/actualites/une-nouvelle-annee-record-pour-les-tournages-en-region_1114660
  15. Vous prévoyez de partir à la neige ou au soleil pendant les vacances d’hiver ? L’ADEME fait un tour d’horizon pour chaque destination, des gestes à adopter pour concilier vos envies d’ailleurs et la préservation de l’environnement. Afficher l’article complet
  16. Les Etats Généraux des actrices et des acteurs, organisés par l’AAFA-Actrices et Acteurs de France Associés avec le soutien de l’ADAMI se sont tenus à Nantes, Marseille, Lilles et Paris du 31 janvier au 2 février 2020. Voici les photos d’Orian Sawmy lors des deux journées parisiennes où nous avons été accueillis par le CNSAD- Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique. L’article Les états Généraux des actrices et des acteurs – Photos- Paris est apparu en premier sur AAFA. Afficher l’article complet
  17. MANIFESTATIONS NATIONALES JEUDI 6 FEVRIER A PARIS : Départ à 13h30 depuis Gare de l’Est jusqu’à Nation en passant par République puis Boulevard Voltaire EN REGIONS : (Se rapprocher des UD / Plus d’infos à venir) – NANTES : à 15 h, au Miroir d’eau + à partir de 18h, Concert de solidarité aux grévistes [&hellip Cet article La retraite par points : Non merci ! est apparu en premier sur SPIAC CGT : Syndicat des Professionnels des Industries de l'Audiovisuel et du Cinéma. Afficher l’article complet
  18. Cet article Lundi 3 février : AG Spectacle, Art et Culture est apparu en premier sur SPIAC CGT : Syndicat des Professionnels des Industries de l'Audiovisuel et du Cinéma. Afficher l’article complet
  19. A l’occasion des Assises de la Transition Energétique, l’ADEME publie une mise à jour de son étude 2017 sur les « Coût des énergies renouvelables en France ». Globalement, l’étude constate que le coût des énergies renouvelables poursuit sa baisse rapide. Des filières comme le photovoltaïque, l’éolien terrestre, le bois énergie, atteignent aujourd’hui, pour une partie significative des installations, des coûts inférieurs à ceux des technologies conventionnelles. L’étude détaille également les principaux paramètres régissant les coûts de production des différentes filières de production de chaleur, d’électricité ou de gaz renouvelables. La production d’électricité renouvelable : le photovoltaïque et l’éolien, les filières de production décarbonées les plus compétitives L’éolien terrestre et les centrales au sol photovoltaïques sont aujourd’hui des moyens de production d’électricité compétitifs vis-à-vis des moyens conventionnels : pour les installations mises en service entre 2018 et 2020, les coûts de production pour l’éolien terrestre seront compris entre 50 et 71 €/MWh et 45 et 81 €/MWh pour les centrales au sol photovoltaïques, alors que les coûts de production d’une nouvelle centrale à gaz à cycle combiné sont compris entre 50 et 66 €/MWh. Ainsi, sur la période 2015-2020, les coûts de production de ces deux technologies devraient baisser respectivement de 18 et 40%. Ces résultats confirment ceux de la publication de la Commission de Régulation de l’Energie de février 2019, qui constate, par exemple, que 30% des projets de centrales au sol de grande taille ont un coût moyen de 48€/MWh. Dans ce contexte, les soutiens publics au MWh se réduisent significativement, mais leur rôle assurantiel reste important pour permettre l’accès à des financements à bas coût. Quant à l’éolien en mer posé, si la France ne dispose pas encore de parc en exploitation, le tarif d’achat de 44 €/MWh pour le parc de Dunkerque attribué en 2019 pour une mise en exploitation à horizon 2025 montre que cette technologie devrait dans le futur, être elle aussi compétitive. À l’horizon 2050, grâce aux progrès technologiques et aux économies d’échelle, les coûts de production des installations EnR devraient encore diminuer et ainsi être compris entre 24 et 54 €/MWh, excepté pour l’éolien en mer flottant (58-71 €/MWh). Le bois : une solution de production de chaleur renouvelable intéressante pour les particuliers Chez les particuliers, les solutions bois énergie offrent des coûts de revient moins élevés et donc globalement plus compétitifs que leurs concurrents conventionnels : entre 62 et 129 €/MWh contre une fourchette de 129 à161 €/MWh pour le fioul et de 99 à 115 €/MWh pour le gaz[1]. Les pompes à chaleur géothermiques se rapprochent de la solution gaz avec des coûts de production entre 81 et 126 €/MWh. Le même constat est observé pour les pompes à chaleur air/eau dont les coûts de production sont respectivement compris entre 87 et 143 €/MWh. Néanmoins, le développement des solutions EnR chez le particulier nécessite le maintien des aides publiques. En effet, même les solutions les plus compétitives (bois énergie et géothermie), peinent à se développer à cause de barrières freinant le passage à l’action (le coût de l’investissement initial est particulièrement élevé). La production de chaleur renouvelable dans le collectif, le tertiaire et l’industrie : des solutions à fort potentiel L’alimentation en chaleur des bâtiments collectifs, industriels ou des réseaux de chaleur par les EnR représente un potentiel important. Dans le collectif, hors subvention, les solutions EnR ayant le plus fort potentiel de développement (biomasse, solaire thermique ou géothermie de surface) sont plus coûteuses que les solutions gaz[2] : la biomasse (51-96 €/MWh), le solaire thermique sur toiture (64-165 €/MWh) et la géothermie de surface (88–140 €/MWh) ont un coût supérieur à ceux d’une chaudière gaz (51-85 €/MWh). La géothermie profonde (15 -55 €/MWh) et la récupération de chaleur sur UIOM (15-29€/MWh) ont, elles, des coûts de production très compétitifs, mais leur potentiel de développement est plus limité et elles nécessitent le développement d’un réseau de chaleur pour être exploitées; leurs coûts de production ne sont donc pas directement comparables à ceux d’une chaudière gaz en pied d’immeuble. Dans le secteur industriel, les coûts pour récupérer la chaleur fatale (5-36 €/MWh) ou produire de la chaleur à partir de biomasse (26-76 €/MWh) sont aujourd’hui compétitifs par rapport au coût de production d’une chaudière gaz (42-58 €/MWh, ou 51-63 €/MWh avec une évolution de la CCE, pour une puissance supérieure à 500kW). Que ce soit pour alimenter les réseaux de chaleur ou des process industriels, les premières grandes installations solaires thermiques au sol en France affichent des coûts de production pouvant atteindre moins de 40€/MWh dans certains cas, ce qui permet d’apporter une part d’approvisionnement en énergie renouvelable intéressante à bas coût. Toutefois, compte tenu de la faiblesse du prix du gaz, les soutiens publics restent indispensables pour garantir la compétitivité́ des filières EnR tant dans le collectif qu’en milieu industriel. Le biogaz, plus cher mais nécessaire pour verdir le réseau de gaz Parmi toutes les solutions examinées pour le biogaz, l’injection, est le mode de valorisation le moins onéreux avec un coût de production compris entre 72 et 112 €/MWh. Ce dernier reste cependant supérieur au prix du gaz naturel (24 €/MWh PCS en 2018). Si le biogaz est aujourd’hui une solution plus coûteuse que les solutions traditionnelles et que les autres EnR pour la production d’électricité et/ou de chaleur, son développement permet d’augmenter progressivement le caractère renouvelable du gaz consommé sur le réseau. Par ailleurs, ces coûts ne prennent pas en compte d’autres bénéfices environnementaux comme la valorisation des biodéchets, notamment agricoles ou le retour au sol des matières organiques, en substitution d’engrais. Une opportunité économique, énergétique et écologique pour les territoires Qu’il s’agisse d’électricité ou de chaleur, ces baisses de coûts et la compétitivité croissante qui en résulte sont un des résultats positifs et attendus des politiques de soutien mises en place en France et dans le monde. De plus en plus matures et compétitives, les EnR représentent aujourd’hui une opportunité économique, énergétique et écologique pour les territoires. La grande diversité des filières permet de répondre et de s’adapter aux différents besoins. Elles permettent de préfigurer un portefeuille de technologies respectueuses de l’environnement, complémentaires et compétitives pour demain. [1] Même en tenant compte d’une évolution de la CCE à l’horizon 2030 [2] En tenant compte d’une évolution de la Contribution Climat Energie (CCE) à l’horizon 2030 Afficher l’article complet
  20. Enregistrer des spectacles à l’aide de moyens électroniques pendant une ou plusieurs représentations, la plupart du temps…L’article Filmer le Spectacle Vivant est apparu en premier sur L’Union des Chefs Opérateurs. Afficher l’article complet
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