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Anim

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  1. Qui peut bénéficier du crédit d’impôt phonographique ? Toutes les entreprises de la production phonographique, généralement identifiées par le code NACE 5920Z, peuvent accéder à ce crédit d’impôt. Les entreprises n’ayant pas l’initiative de la production de l’environnement (lorsque l’entreprise signe un contrat de licence avec l’entreprise de production phonographique initiale, ou lorsqu’elle a fait l’acquisition de la bande master) peuvent aussi y accéder. Le crédit d’impôt est prorogé jusqu’au 31 décembre 2024. Quelles conditions respecter pour en bénéficier ? L’entreprise doit être soumise à l’impôt sur les sociétés. Elle bénéficie quand même du crédit d’impôt en cas d’exonération temporaire à l’IS. En outre, l’entreprise doit respecter les conditions suivantes : Respecter ses obligations sociales et fiscales ; Ne pas être détenu directement ou indirectement par un éditeur de service de télévision ou de radiodiffusion ; ✓ Effectuer les prestations liées à la réalisation d’enregistrements phonographiques ou vidéographiques ainsi qu’aux opérations de postproduction ; L’œuvre doit être réalisée par des entreprises établies sur le territoire français ou européen. Quels taux et quels montants de crédit d’impôt pour la production phonographique ? À compter du 1er janvier 2021, le taux du crédit d’impôt est de 20 % des dépenses éligibles... The post Le crédit d’impôt phonographique appeared first on Movinmotion. Afficher l’article complet
  2. A La Réunion, l’Afdas accompagne pour les questions d’emploi, de formation et de compétences les employeurs des secteurs de la culture, des industries créatives, des médias, de la communication, des télécommunications, du sport, du tourisme, des loisirs, du divertissement ainsi que les professionnels (salariés CDI, CDD, intermittents du spectacle, journalistes pigistes et artistes-auteurs) qui œuvrent dans ces secteurs. Afficher l’article complet
  3. Par Jack Roberts En nous servant de la pandémie comme une remise à zéro, comment pouvons-nous repenser les salles pour mieux servir les besoins des utilisateurs ? En fermant le livre de 2020, il reste bien des chapitres sans fins que nous devons encore achever. Nous savons bien que le COVID-19 a eu un impact sur toutes les industries, au niveau mondial, et la phrase “la nouvelle norme” est prononcée souvent et de façon sinistre ; beaucoup d’experts s’accordent à dire que nous devrons prendre les précautions nécessaires pendant une bonne partie de l’année 2021. Cette pandémie a eu un impact significatif sur l’industrie cinématographique, reflétant ce qui se passe dans tous les secteurs artistiques. Partout dans le monde, les cinémas ont fermé, les festivals ont été annulés et les sorties de films ont été reportées ou retardées indéfiniment. Au fur et à mesure que les cinémas ferment, les revenus globaux des entrées chutent de plusieurs milliards de dollars et la production de films est également suspendue. Ceci bouleversera encore plus la production créative potentielle post-pandémie et le gagne-pain de millions de gens à travers le monde est sous le menace de l’effondrement – non seulement du cinéma – mais également de l’industrie cinématographique en elle-même. Les efforts récents pour booster les revenus des entrées mondiales sont des échecs ; les grands studios repoussent sans fin la sortie de leurs valeurs sûres et les cinémas partout dans le monde annoncent la suspension de leur activité et réduisent leurs équipes. Cependant, malgré quelques succès de plusieurs films à grand budget pendant la pandémie avec le modèle VOD, ce système ne pourra pas se perpétuer et le concept actuel de la salle de cinéma n’a pas d‘avenir. Certaines fermeront sans doute définitivement – et malheureusement, il y a des chances que cela touche essentiellement les petites salles indépendantes -, mais la machine à blockbusters ne peut pas survivre sans les salles de cinéma. Le cinéma a traversé les tempêtes sociétales au cours de l’Histoire et les proclamations de sa mort se sont répétées à intervalles réguliers depuis plusieurs décennies. Pour l’instant, ce n’est qu’un petit contretemps et l’occasion de se ressaisir. Voilà pourquoi il n’est pas encore temps d’écrire la nécrologie des salles, mais plutôt de remanier certains éléments de « l’expérience cinéma » afin de remédier à certains désagréments persistants notés par la clientèle, de tirer parti d’occasions manquées et de proposer une expérience client hors pair. Depuis une dizaine d’années, l’arrivée des services de streaming force les salles de cinéma à se concentrer sur l’amélioration de leur offre, un peu comme la montée des achats en ligne ont forcé les détaillants à améliorer l’expérience en boutique. Le résultat est que les cinémas ont créé une expérience qu’ils ne croyaient pas possible de reproduire numériquement, c’est à dire des salles de luxe et VIP, des fauteuils inclinables et vibrants ou le service à la place. Néanmoins, ces changements sont minimes et peinent à attirer les clients potentiels vers des salles qui sont inévitablement plus chers. Ces solutions sont des exemples d’idées issues de décisions prises dans une salle de conseil et non grâce à une connaissance qualitative de la clientèle et du prototypage. Depuis des années, lorsque l’on demande aux spectateurs pourquoi ils vont au cinéma, ces derniers évoquent l’expérience sociale, le fait de voir un film en compagnie de beaucoup d’autres personnes rehausse leur plaisir. C’est vrai des cinéphiles comme des spectateurs occasionnels, mais les personnes qui voient un film en salle veulent le voir en avance, qu’ils soient seuls ou accompagnés. Ils veulent le voir sur grand écran, comme le réalisateur l’a voulu. Cependant, si on demande aux gens pourquoi ils ne fréquentent pas les cinémas, ils se plaignent souvent du tarif et ont le sentiment qu’ils ne voient pas de réelle valeur ajoutée dans l’expérience en salle par rapport à l’argent qu’ils dépensent. Alors, que pouvons-nous faire pour satisfaire les consommateurs qui en veulent davantage et pour attirer ceux qui ne veulent pas dépenser une fortune ? Je me suis concentré sur 5 aspects qui doivent constituer l’objectif principal pour repenser l’expérience en salle : Mettre en évidence l’histoire du cinéma Jadis la résidence de Charlie Chaplin, désormais un trésor de souvenirs de films, le Musée du Cinéma est le temple du grand écran préféré des londoniens. Aujourd’hui, lorsqu’on entre dans un cinéma, que ce soit en Amérique profonde ou dans une grand métropole, on voit qu’il y a énormément de place libre. L’attirail habituel de guichets/machines de billetterie, de comptoirs et de toilettes est toujours là. Selon la taille du cinéma, il peut y avoir des affiches des films programmés et si on a de la chance, il peut même y avoir des machines à sous. Mais ça laisse beaucoup à désirer. Ces espaces libres ont une réelle valeur foncière. Les murs, les foyers et les couloirs vides peuvent parfaitement servir à exposer l’histoire du cinéma. Le succès du Musée du Design à Londres avec son exposition sur Stanley Kubrick en 2019 a prouvé l’intérêt du public pour de tels dispositifs. Une telle expo pourrait simplement comporter des affiches rétro ou des photographies de tournage avec quelques informations, ou on pourrait même faire l’effort d’acheter des reproductions/souvenirs physiques de films. Il faut l’imaginer comme le « Hard Rock Café » avec moins de guitares ! Les centres commerciaux en Thaïlande rencontrent un grand succès lorsqu’ils remplissent des espaces vides avec des vitrines roulantes pour des artistes. Dans le cas des chaînes de cinémas, on pourrait même concevoir une collection « tournante » afin de renouveler l’exposition. Cela pourrait également se révéler intéressant pour les studios de voir leurs accessoires exposés dans un cinéma plutôt que de prendre la poussière dans un entrepôt. A l’instar de l’aéroport Schiphol à Amsterdam, les cinémas ne doivent pas allouer de la place uniquement à des fauteuils basiques, mais proposer des options inclinables, très recherchées. Contrairement aux centres commerciaux, les salles de cinémas ne sont pas des lieux de passage rapide pour des gens qui ne feront pas d’achats. Ce genre de changement satisferait donc les envies des consommateurs existants, qui auront probablement déjà acheté leurs places. L’expérience entre le moment où ils achètent leur billet et le moment où ils s’assoient pour regarder le film ne doit pas être négligé. Cette approche pourrait améliorer l’expérience globale en améliorant les « accessoires ». L’expérience du luxe L’Electric Cinema, qui a ouvert ses portes en février 1910, est l’un des cinémas les plus anciens en Grande Bretagne encore en activité. Le modèle du luxe vu par les cinémas à travers le monde laisse entrevoir une approche unique avec très peu de différences d’un cinéma à l’autre. Leur définition du luxe semble se restreindre à des fauteuils plus profonds, davantage de place pour les jambes et la possibilité de commander à manger pendant le film. Ces solutions, réservées aux petites salles VIP, se révèlent souvent hors de portée du « spectateur lambda » à cause de leurs prix exorbitants. De plus, ils ne voient pas assez grand. Partout dans le monde, les cinémas sont tombés dans le même modèle de disposition des salles. Certains ont pu expérimenter des écrans incurvés et des fauteuils en arc de cercle mais cela reste rudimentaire. Si on regarde la collaboration entre IKEA et l’Olympia Paris ou bien l’Electric Cinema à Londres, on voit des exemples de cinémas qui s’élèvent contre l’immobilisme, tout en fournissant les éléments nécessaires à une projection de qualité. En tirant parti de beaucoup de données et en favorisant des partenariats souples avec les grands studios, les cinémas pourraient devenir les « sommeliers de films » et conseiller des films en fonction de leurs clients. Des expériences en extérieur, sur mesure et immersives L’Amphithéâtre Red Rocks au Colorado propose une expérience cinéma unique, niché parfaitement dans une merveille naturelle de grès ocre. Les projections en extérieur n’ont rien de nouveau. Qu’ils tirent avantage de toitures, de parcs, d’espaces en bord d’eau, de châteaux ou d’espaces naturelles, beaucoup d’exploitants indépendants y ont trouvé leur compte depuis une dizaine d’années. Alors, comment se fait-il que les grands groupes ne diversifient pas leurs efforts ? Ils ont déjà à leur disposition le matériel de base, les contacts dans l’industrie et l’intérêt de la majorité des personnes concernées. Cela semble évident. Entretemps, les projections pour enfants n’ont jamais eu la préférence d’aucune chaîne de cinémas, alors que cette proposition toute simple peut faire la différence avec la concurrence. Toute personne qui s’est déjà assise pour regarder un film avec un enfant qui n’a aucune envie de voir un film de 90 minutes comprendra que cette solution satisferait les besoins de tous ceux concernés. On voit déjà des exemples intéressants à Singapour et à Bangkok mais le meilleur exemple est sans doute les Village Cinemas en Australie, qui ont un partenariat avec Mattel pour concevoir une expérience – à l’intérieur comme à l’extérieur – du cinéma pour les enfants, avec des toboggans, des fauteuils « Sacco », du coloriage et une aire de jeux. Le fait d’étendre leur offre au-delà de la salle elle-même accroît et enrichit le voyage des clients et retient leur attention. En ce qui concerne l’immersion, National CineMedia aux USA utilise des jeux de réalité augmentée afin de réinventer l’expérience pré-projection pour ses spectateurs. C’est percutant et c’est quelque chose que peu de gens prennent en compte. Les années 1990 ont vues l’apparition des quiz sur le cinéma, des questions simples pour distraire les spectateurs avant d’envoyer les bandes annonces. Au cours des années, cette idée simple s’est perdue, remplacée pour la plupart par une salle plongée dans le noir ou parfois un peu de musique légère. Améliorer l’expérience pré-projection afin de la rendre plus immersive n’est pas simplement une occasion sous-estimée mais elle a également le pouvoir de conduire le consommateur vers une application. Le processus de réservation Qui, parmi nous, connaît une appli pour la réservation de séances au cinéma, de niveau mondial ? La démarche de l’utilisateur pour l’achat d’une place de cinéma est semée d’embuches et c’est l’occasion de mettre en œuvre une conception adaptée. Parmi les problèmes communs, on trouve un manque de clarté concernant les options disponibles, une navigation difficile, un manque de clarté jusqu’à la fin de la procédure au sujet du tarif, des icônes obscures et peu de choix dans les options de paiements (appli ou e-tickets). Pour être honnête, la plupart des applications et des sites internet donnent l’impression de ne pas avoir été mis à jour depuis un bon moment et ne correspondent ni aux besoins ni aux attentes du consommateur moderne. L’expérience utilisateur s’étend à tous les points de contact avec le consommateur et si le fait de réserver une séance n’est pas une expérience simple et agréable, on peut perdre le client et le bouche-à-oreille sera négatif. La bonne nouvelle est qu’il n’y a pas de leader dans ce domaine. Le prix de la meilleure interface pour la réservation de billets n’a toujours pas été décerné. On peut apprendre des leçons des applis pour commander des achats, des voyages ou de la nourriture – ou même des banques – et bousculer la conception traditionnelle existante pour le bien de l’expérience utilisateur. Fermer des salles Les Goonies ne renoncent jamais… le cinéma non plus. Des mois entiers sans les recettes de grandes sorties seront désastreux pour l’industrie dans son ensemble. L’Association Américaine de Propriétaires de Cinémas prévoit que 70 % des petites et moyennes sociétés de cinémas feront faillite si l’on n’intervient pas. AMC (le plus grand exploitant de cinémas au monde) ainsi que Cineworld (le deuxième plus grand) sont susceptibles de se déclarer en cession de paiements ou en faillite. Le prix des actions des exploitants occidentaux s’est effondré cette année et valent désormais un cinquième de ce qu’elles valaient il y a cinq ans. Pour résumer : les recettes de billetterie dans beaucoup de cinémas indépendants au Royaume Uni montrent que leurs spectateurs restent fidèles et certaines séances affichent complets alors que d’autres encouragent les fans de blockbusters à essayer des films d’auteur, le cinéma indépendant étant bien plus viable dans le court-terme que le modèle commercial du blockbuster. Même si cette tendance semble positive, nous devons accepter la fermeture inévitable des cinémas, ce qui pourrait laisser certains cinémas historiques et célèbres tomber en ruine. J’espère que ces cinémas pourront rester ouverts en tant que telles. Je ne crois pas qu’il soit dans l’intérêt de quiconque dans notre société de démolir des cinémas. L’industrie cinématographique était viable avant la crise et le sera après, une fois qu’elle sera remise sur pied. Ce serait un désastre si ce n’était pas le cas. Finalement, il est impossible qu’une projection à domicile atteigne la qualité d’un film projeté en salle. Il y aura toujours le plaisir communicatif et la montée d’adrénaline inhérent au visionnage d’un film avec le public. Le besoin de l’homme de se faire conter des histoires perdure depuis la nuit des temps et demeure universel. Aujourd’hui encore, il persiste. De même, la plupart des réalisateurs souhaiterait que leurs films soient vus d’abord au cinéma car il s’agit d’une expérience unique. La pandémie nous a privé de la notion d’évasion au cinéma; c’est pourquoi nous devons prendre ce temps pour évaluer et créer une expérience encore plus époustouflante en préparation du retour des consommateurs. Article traduit de l’anglais par la CST. Pour lire l’article original, cliquer ici Afficher l’article complet
  4. Extrait du communiqué « Stop violences sexistes et sexuelles », 2021. Traiter le viol, le harcèlement sexuel, les violences sexistes et sexuelles et toute forme d’emprise, c’est l’une des mesures-phares du plan annoncé par le ministère de la Culture aux Assises de la parité, l’égalité et la diversité dans le cinéma, qui se sont tenues en novembre 2019 au Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC). La Fesac (Fédération des entreprises du spectacle vivant, de la musique, de l’audiovisuel et du cinéma), cinq organisations syndicales – CGT Spectacle, CFE-CGC, CFTC, FASAP FO, CFDT Communi-cation Conseil, Culture – le CNC et Audiens mettent en place, avec le soutien du ministère de la Culture, une cellule d’écoute à destination des victimes ou des témoins de viol, de harcèlement sexuel, de violences sexistes et sexuelles dans le secteur du spectacle vivant, de l’audiovisuel ou du cinéma, en milieu professionnel, accessible à tous les artistes et les techniciens. Lire la suite Afficher l’article complet
  5. Comment les producteurs gèrent-ils, appréhendent-ils les tournages sous Covid ? Tourner sous Covid alors que "le pire est quasiment certain" - Podcast France Culture
  6. Cet article Solidarités dans le spectacle est apparu en premier sur SPIAC-CGT : Syndicat des Professionnel.le.s des Industries de l'Audiovisuel et du Cinéma CGT. Afficher l’article complet
  7. Evolution des salaires de la production cinématographique et audiovisuelle par rapport à l’inflation depuis 2004 (maj)Merci à nos Camarades de l’AFAR 26 mars 2019 • Mis à jour le 1er février 2021 | par AFAR afar.cc/2643 Entre 2004 et 2020, alors que l’inflation atteint 21,33% sur la période, les salaires ont évolué de 18,75% dans la […] Cet article Le décrochage continu des salaires de la production audiovisuelle est apparu en premier sur SPIAC-CGT : Syndicat des Professionnel.le.s des Industries de l'Audiovisuel et du Cinéma CGT. Afficher l’article complet
  8. Clauses Covid-19 dans votre contrat de travail, découpage de vos contrats pour un même objet de contrat de travail, vous pouvez nous informer :dg@spiac-cgt.orgdga@spiac-cgt.org07 69 06 04 28 par SMS Cet article Clauses Covid-19, découpage de votre contrat de travail est apparu en premier sur SPIAC-CGT : Syndicat des Professionnel.le.s des Industries de l'Audiovisuel et du Cinéma CGT. Afficher l’article complet
  9. La commission AAFA-Lab’s ,dans cette période où les comédiennes et les comédiens ont des difficultés à pratiquer leur art, a proposé des ateliers dans l’esprit du Labo : espace de rencontre, d’échange et de recherche dans un esprit bienveillant et exigeant car libéré de la contrainte du résultat Depuis la possibilité d’ouverture des salles pour répéter , cette année a été l’occasion d’expérimenter de nouveaux scénarios (de Bernard Skira ) , pièces (de Marjorie Fabre), de travailler les alexandrins Racinien (avec Anne Delbée) ou amoureux (avec Armand Eloi), de mettre en évidence les sous-textes (avec Dominique Ladoge) de perfectionner « son jeu d’acteur pour l’adapter aux nouvelles productions audiovisuelles » (avec Pierre Leix-Cote) ou dans la science-fiction (avec Ugo Bimar). Nous avons « enquêté » (avec Bruno Banon), « improvisé » (avec Pierre Pradinas) pour créer et enrichir nos personnages. Nous sommes « morts et avons pleuré » (avec Alain Prioul) mais nous avons aussi « chanté et dansé » (avec Panchika Velez). Bref, nous avons joué en 2020 et nous continuerons en 2021 (dans la mesure du possible) à vous proposer encore plus de Labo… AAFA-Lab's 2020 L’article En 2020 l’AAFA-Lab’s a proposé… est apparu en premier sur AAFA. Afficher l’article complet
  10. Cet article JOURNÉE D’ACTION INTERPROFESSIONNELLE LE 4 FÉVRIER 2021 – Le spectacle, le cinéma, l’audiovisuel et l’action culturelle dans la lutte ! est apparu en premier sur SPIAC-CGT : Syndicat des Professionnel.le.s des Industries de l'Audiovisuel et du Cinéma CGT. Afficher l’article complet
  11. Cet article L’Assemblée Nationale se prononce en faveur du maintien de France 4 est apparu en premier sur SPIAC-CGT : Syndicat des Professionnel.le.s des Industries de l'Audiovisuel et du Cinéma CGT. Afficher l’article complet
  12. Cet article Films d’animation, salaires au 1er janvier 2021 est apparu en premier sur SPIAC-CGT : Syndicat des Professionnel.le.s des Industries de l'Audiovisuel et du Cinéma CGT. Afficher l’article complet
  13. Mesdames,Messieurs, Cher.e.s Camarades, Copie des éléments transmis à l’ensemble des membres de la Commission Paritaire Permanente de Négociation et d’Interprétation de la production cinématographique le 21 janvier 2020 Vous trouverez en pièce jointe les propositions formulées par notre organisation concernant : La branche son La branche décoration Comme nous l’indiquions lors d’une précédente rencontre, nous […] Cet article Agenda de la négociation, production cinématographique est apparu en premier sur SPIAC-CGT : Syndicat des Professionnel.le.s des Industries de l'Audiovisuel et du Cinéma CGT. Afficher l’article complet
  14. ACDC (Au Cul Du Camion) a annoncé en début de semaine le lancement de son laboratoire d'idées "de régisseuses et régisseurs de l'audiovisuel cherchant à (ré)concilier pratiques professionnelles et respect de l'environnement sur les tournages" et ce, en partenariat avec l'AFR (Association Française des Régisseurs). Alexis Giraudeau, créateur d'ACD a publié un message sur le groupe ARA : "Salut l'ARA ! Je vous annonce le lancement de l'initiative ECO Régie Ciné en partenariat avec l'AFR.A l'image de son homologue ECO Déco, ECO Régie Ciné aspire à être un laboratoire d'idées de régisseuses et régisseurs de l'audiovisuel cherchant à (ré)concilier pratiques professionnelles et respect de l'environnement sur les tournages. N'hésitez pas à nous suivre. Merci à celles et ceux qui seraient intéressés de participer à cette aventure de me contacter par MP. Je souhaiterais organiser une première réunion par visio en février. Bonne semaine ! https://www.facebook.com/ECORegieCine" Belle initiative !
  15. Rémy Julienne pendant sa Master Class au French Film Festival de Richmond (VA) en 2015 Rémy Julienne reçoit un Prix Vulcain d'honneur pour l'ensemble de sa carrière sur le stand de la CST en 2012 Rémy Julienne pendant sa Master Class au French Film Festival de Richmond (VA) en 2015 Qui n’a rêvé de rencontrer ce fou des deux, quatre ou huit roues ? Ce Rémy Julienne qui nous aura fait à tous attraper les bras du fauteuil au cinéma, tétanisé par ce qui se passait sur l’écran ? Pour ma part, j’ai eu la chance de faire sa connaissance au tout début de ma carrière de chef opérateur, à l’âge de 25 ans. Malheureusement, je n’ai participé qu’à une cinquantaine de ses 1400 contributions cinématographiques. Chaque fois j’ai apprécié... Afficher l’article complet
  16. D'après le gouvernement, l'application TousAntiCovid protège vos données personnelles : "vous pouvez effacer vos propres pseudo-identifiants qui ont été échangés avec d'autres téléphones et remontés sur le serveur."
  17. Netflix annoncé au début du mois devenir mécène de la cinémathèque, premier acte de la plateforme : la restauration de Napoléon d’Abel Gance, avec Albert Dieudonné et Antonin Artaud. Plus d'informations ici
  18. Le plafond de la Sécurité sociale a une longue histoire et des objectifs précis mais n’est pas toujours aisé à manipuler. Le plafond Sécurité sociale : d’un plafond d’assujettissement… Le plafond de la Sécurité sociale, tel que nous le connaissons, date de 1946 avec l’avènement de la… Sécurité sociale. Il s’agit d’un plafond de cotisation. Nous allons y revenir mais il est intéressant de savoir qu’en 1930, à l’occasion des premières lois sur les assurances sociales, un plafond avait été instauré. Ce plafond était alors un plafond d’assujettissement. Cela signifiait que seules les rémunérations inférieures à ce plafond étaient assujetties aux prélèvements sociaux. On considérait alors que les personnes qui percevaient un revenu supérieur à ce plafond n’avaient pas à relever des assurances sociales, leurs revenus leur permettant de s’assurer à titre individuel. … à un plafond de cotisations. La logique à changé avec la création de la Sécurité sociale : le régime se veut universel. Cependant, on s’accorde à limiter certaines prestations. C’est le cas, notamment, de l’assurance vieillesse pour laquelle les cotisations seront calculées dans la limite d’un plafond. En clair : tout le monde cotise jusqu’à un certain niveau de revenus. La conséquence est mécanique : cotisations plafonnées = prestations plafonnées. Ainsi par exemple, la pension de retraite que l’on peut percevoir au titre de la Sécurité sociale ne peut excéder le montant du plafond de la Sécurité sociale. Le calcul du plafond a donc une importance particulière pour les droits sociaux des salariés. Une minoration de celui-ci engendre des droits minorés. Afficher l’article complet
  19. Calcul erroné du logiciel XOTIS, les rappels de cotisations arrivent dans le chaos. Le 20 novembre 2020, nous alertions dans un communiqué les ouvriers et techniciens intermittents que leurs droits à la retraite avaient été minorés depuis juillet 2018 à l’issue à d’un calcul erroné du principal logiciel de paye des secteurs de l’audiovisuel, du […] Cet article Calcul erroné Xotis, les rappels de cotisations est apparu en premier sur SPIAC-CGT : Syndicat des Professionnel.le.s des Industries de l'Audiovisuel et du Cinéma CGT. Afficher l’article complet
  20. AAFA-Tunnel de la Comédienne de 50 ans fête ses cinq ans de combat avec un nuage sonore ! Signature à notre image : invisibles mais bien vivantes! L’article Un nuage sonore en signature est apparu en premier sur AAFA. Afficher l’article complet
  21. Vous pouvez consulter la prise de parole préparée par Nicolas Dubourg à l’occasion de la tenue le 14 janvier 2021 de la réunion annuelle du comité ministériel égalité femmes hommes. Cette prise de parole lui a été refusée. Lire la déclaration – 14 janvier 2021 (pdf) Cet article Comité ministériel égalité femmes hommes – Discours du Syndeac est apparu en premier sur SYNDEAC. Afficher l’article complet
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